#Bordeaux rock
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Début de l’époque moderne des concerts à Bordeaux : Dècheman + Jessy Evans à la Fabrique Pola
Dècheman & The Gardener – Jessie Evans @ Fabrique Pola à Bordeaux, 14 Septembre 2009. Je crois que c’était pour l’inauguration de Pola aux Bassins à flot (première période). Avant dans le coin il n’y guère eu que le C.A.T. ou l’éphémère Koslow.
Deux ans plus tard l’i.boat allait s’installer par là.
Si quelqu’un a des photos….
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Thurston Moore, pédales au plancher
Le légendaire guitariste de Sonic Youth sera en concert ce dimanche 27 janvier en clôture du festival Bordeaux Rock ; Rolling Stone en a profité pour poser cinq questions à un des grands druides du bruit
Vous êtes considéré comme un pionnier du genre noise : qu’est-ce qui a le plus changé entre vos premiers disques et les derniers ?
À l’époque je ne considérais pas ma musique comme étant “noise”, juste expérimentale. C’était surtout une question de préparation et de modification de l’instrument : j’utilisais des baguettes, des objets en acier, ça multipliait les possibilités de ma guitare. Puis au fil du temps je suis revenu à un jeu plus traditionnel. C’est là que j’ai commencé à m’intéresser aux pédales d’effets, ça m’a permis d’explorer de nouvelles sonorités, tant pour la composition que pour l’improvisation. Au final je suis le même qu’en 1977, pour le meilleur et pour le pire.
Vous étiez à Rock en Seine en 2015, on vous retrouve cette année au festival Bordeaux Rock : quelle relation entretenez-vous avec le public français ?
C’était très difficile de venir jouer en France au début des années 80, c’était une scène très sélective. Les Cramps et Johnny Thunders étaient très appréciés, puis il y a eu Hüsker Dü, dont on a assuré la première partie à nos débuts. À partir de ce moment-là, d’un coup, on est devenus très populaire en France. C’était une vraie victoire. D’autant plus que j’adore votre culture, que ce soit l’art, le jazz, la littérature, la cuisine, le vin, le rock’n’roll – tout ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue, en somme.
Votre dernier album, Rock n Roll Consciousness, a été produit par Paul Epworth, un des producteurs les plus prolifiques du rock et de la pop britanniques des années 2000. Pourquoi avoir fait appel à lui ?
Paul est surtout connu pour avoir travaillé avec Adele. Mais j’ai surtout entendu parler de lui pour son travail avec The Pop Group – ils les adorent et sont amis depuis la révolution pop-culturelle de Bristol dans les années 80. Je suis allé le voir dans son studio, The Church, et je me suis dit que ce serait l’endroit parfait pour enregistrer Rock n Roll Consciousness, qui est un traité de spiritualité et de guérison par l’amour.
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Parlez-nous de votre groupe : comment vous êtes-vous rencontrés ?
Ça fait quelques années maintenant que je travaille pas mal avec James Sedwards, Deb Googe et Steve Shelley. J’ai rencontré Deb dans les années 80, quand Sonic Youth et My Bloody Valentine jouaient ensemble, et j’ai toujours admiré son jeu de basse brutal et en même temps bourré de groove. Steve est un de mes plus vieux amis et un génie des percussions. J’ai rencontré James via ma femme, Eva, c’est un guitariste remarquable, on s’est de suite entendus avec ses goûts : Led Zeppelin, The Fall, tous ces effets. C’est grâce à lui que Deb nous a rejoints, ils sont amis. Et nous voilà. Comme Steve vit aux États-Unis, je fais parfois appel à d’autres batteurs – comme Jem Doulton. En ce moment on joue avec encore plus de guitaristes. J’ai récemment fait un concert avec douze guitares 12-cordes – acoustiques et électriques – et nous avons joué, tous les quatre, avec deux guitaristes supplémentaires, Jen Schande et Alex Ward.
Un nouvel artiste ou un nouveau groupe qui a attiré votre attention récemment ?
Avec Eva, on vient de sortir le premier album de Big Joanie, un trio punk féminin originaire de Londres, qui est fantastique. J’aime beaucoup également un groupe qui s’appelle Guttersnipe, de Londres également, et Pega Monstro de Lisbonne. Il y a tellement d’artistes solo brillants, de très grands improvisateurs en art rock, noise, folk, etc. Il y a quelques trucs mainstream que j’aime aussi énormément, comme Lana Del Rey et Solange. Mais de manière générale, j’écoute surtout les bruits de la campagne et le son délicieux du souffle de ma compagne.
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/thurston-moore-itw/
INTERVIEW - Thurston Moore, pédales au plancher
Le légendaire guitariste de Sonic Youth sera en concert ce dimanche 27 janvier en clôture du festival Bordeaux Rock ; Rolling Stone en a profité pour poser cinq questions à un des grands druides du bruit
Vous êtes considéré comme un pionnier du genre noise : qu’est-ce qui a le plus changé entre vos premiers disques et les derniers ?
À l’époque je ne considérais pas ma musique comme étant “noise”, juste expérimentale. C’était surtout une question de préparation et de modification de l’instrument : j’utilisais des baguettes, des objets en acier, ça multipliait les possibilités de ma guitare. Puis au fil du temps je suis revenu à un jeu plus traditionnel. C’est là que j’ai commencé à m’intéresser aux pédales d’effets, ça m’a permis d’explorer de nouvelles sonorités, tant pour la composition que pour l’improvisation. Au final je suis le même qu’en 1977, pour le meilleur et pour le pire.
Vous étiez à Rock en Seine en 2015, on vous retrouve cette année au festival Bordeaux Rock : quelle relation entretenez-vous avec le public français ?
C’était très difficile de venir jouer en France au début des années 80, c’était une scène très sélective. Les Cramps et Johnny Thunders étaient très appréciés, puis il y a eu Husker Du, dont on a assuré la première partie à nos débuts. À partir de ce moment-là, d’un coup, on est devenus très populaire en France. C’était une vraie victoire. D’autant plus que j’adore votre culture, que ce soit l’art, le jazz, la littérature, la cuisine, le vin, le rock’n’roll – tout ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue, en somme.
Votre dernier album, Rock n Roll Consciousness, a été produit par Paul Epworth, un des producteurs les plus prolifiques du rock et de la pop britanniques des années 2000. Pourquoi avoir fait appel à lui ?
Paul est surtout connu pour avoir travaillé avec Adele. Mais j’ai surtout entendu parler de lui pour son travail avec The Pop Group – ils les adorent et sont amis depuis la révolution pop-culturelle de Bristol dans les années 80. Je suis allé le voir dans son studio, The Church, et je me suis dit que ce serait l’endroit parfait pour enregistrer Rock n Roll Consciousness, qui est un traité de spiritualité et de guérison par l’amour.
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Parlez-nous de votre groupe : comment vous êtes-vous rencontrés ?
Ça fait quelques années maintenant que je travaille pas mal avec James Sedwards, Deb Googe et Steve Shelley. J’ai rencontré Deb dans les années 80, quand Sonic Youth et My Bloody Valentine jouaient ensemble, et j’ai toujours admiré son jeu de basse brutal et en même temps bourré de groove. Steve est un de mes plus vieux amis et un génie des percussions. J’ai rencontré James via ma femme, Eva, c’est un guitariste remarquable, on s’est de suite entendus avec ses goûts : Led Zeppelin, The Fall, tous ces effets. C’est grâce à lui que Deb nous a rejoints, ils sont amis. Et nous voilà. Comme Steve vit aux États-Unis, je fais parfois appel à d’autres batteurs – comme Jem Doulton. En ce moment on joue avec encore plus de guitaristes. J’ai récemment fait un concert avec douze guitares 12-cordes – acoustiques et électriques – et nous avons joué, tous les quatre, avec deux guitaristes supplémentaires, Jen Schande et Alex Ward.
Un nouvel artiste ou un nouveau groupe qui a attiré votre attention récemment ?
Avec Eva, on vient de sortir le premier album de Big Joanie, un trio punk féminin originaire de Londres, qui est fantastique. J’aime beaucoup également un groupe qui s’appelle Guttersnipe, de Londres également, et Pega Monstro de Lisbonne. Il y a tellement d’artistes solo brillants, de très grands improvisateurs en art rock, noise, folk, etc. Il y a quelques trucs mainstream que j’aime aussi énormément, comme Lana Del Rey et Solange. Mais de manière générale, j’écoute surtout les bruits de la campagne et le son délicieux du souffle de ma compagne.
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Matthias Haghcheno
#Alex Ward#Big Joanie#Bordeaux Rock#Deb Googe#Guttersnipe#interview#itw#James Sedwards#Jem Doulton#Jen Schande#My Bloody Valentine#Paul Epworth#Pega Monstro#Rock n Roll Consciousness#sonic youth#Steve Shelley#The Pop Group#Thurston Moore
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LA GENÈSE ET LA SUITE
Marc A. Bertin / PeterHook - © JodyHartley
BORDEAUX ROCK
Depuis 2004, l’association bordelaise porte à bout de bras le passé, le présent et le futur des musiques amplifiées selon le lexique du ministère de la Culture et de la Communication. Une stupéfiante longévité en dépit du temps qui passe et des obstacles qui volent en rafale. Cela valait bien une causerie avec Richard Berthou et Aymeric Monségur au nom de cette histoire loin de s’arrêter.
À l’origine ?
Richard Berthou : Une crise de quadras et de quinquas ayant connu leur heure de gloire dans les années 1980. Plus sérieusement, le désir de publier une compilation « somme » avec un livret retraçant la singulière histoire du rock bordelais depuis la fin des années 1970. L’association comptait en son sein un canal « historique » ayant à coeur d’oeuvrer pour ce patrimoine. Un premier festival à guichet fermé, de bonnes ventes du CD et nous voilà les premiers surpris ! N’ayant aucune stratégie de longue durée, dès lors, que faire ? On a donc rendu hommage à la scène de la décennie suivante, tout en jetant un regard sur ce qui se passait en ville.
Aymeric Monségur : À la chronique s’est greffé l’instantané ; une démarche assez hybride. Comme au début nous vendions bien les disques, nous avions décidé de publier une compilation par semestre, puis une espèce de fanzine. En outre, nous avons su intelligemment surfé sur l’engouement du revival rock ou du teenage rock, puis, nous nous sommes penchés sur les musiques électroniques souhaitant lier toutes les générations. Nous étions les premiers en 2008, à une époque dépourvue de collectif dédié au genre, à organiser de grosses soirées electro, dont celle mythique au défunt 4Sans.
Tout n’a pas été facile, de la crise du disque à l’usure des bonnes volontés, non ?
A.M. : Depuis 2015, nous n’éditons plus de compilations alors qu’avant les formations programmées à la soirée Rock en ville y figuraient toutes. Il est révolu le temps des têtes de gondole au Virgin ou à la Fnac pour Noël.
R.B. : 2012 a vu le départ d’un gros contingent d’historiques du bureau de l’association…
A.M. : …sans oublier le fiasco de notre festival au Palais des Sports en septembre 2012, on était accablé de dettes, en conflit avec la Rock School Barbey, le 4Sans avait fermé en juin 2011 et, paradoxalement, l’asso a rajeuni, on a quitté Bègles pour le centre-ville de Bordeaux, on est passé d’un bureau foutraque à 4 personnes. Malgré l’adversité, on a fait des soirées « Ici Paris », accompagné des talents locaux à Paris, organisé des espèces de tournées en Italie et en Espagne, monté 3 éditions du French Pop Festival, puis les Plages Pop au Cap-Ferret. L’arrivée de l’i.Boat, en 2013, fut un ballon d’oxygène, on a pu recommencer à s’ouvrir au national comme à l’étranger.
R.B. : Néanmoins, le pilier demeure Bordeaux Rock à travers les années même si notre souci permanent, c’est le nomadisme. On a toujours pâti d’un manque de lieu.
Jamais eu envie d’avoir votre bouclard ?
R.B. : Soit tu trouves sans acheter, soit tu as les clefs d’un endroit, or ce n’est pas le cas ni l’humeur du temps ; je parle ici de lieux publics. Ouvrir un lieu, c’est tout sauf une partie de plaisir, tu fais vite de l’hôtellerie de nuit ; un sacerdoce. Dans ces conditions, peut-on faire ce que nous faisons ? C’est un tout autre métier.
En résumé, quelle est la formule de Bordeaux Rock ?
R.B. : L’itinérance et les grandes salles, sauf qu’avec le temps, les lieux disparaissent et les survivants sont de plus en plus petits pour accueillir du live. On a péniblement pu trouver 8 lieux cette année.
A.M. : On a quand même la chance de bénéficier de la réouverture de la salle des fêtes du Grand Parc.
R.B. : Les scènes émergentes sont dans les lieux privées. L’i.Boat est plus dans la prospective que les SMAC de la Métropole, c’est le paradoxe de l’époque. Cela dit, cela n’a rien de spécifiquement bordelais. Le problème était identique il y a 15 ans…
Et pour ce qui relève de la méthode ?
A.M. : Quand j’avais 25 ans, j’assistais à tous les concerts de tous les groupes programmés. Désormais, j’ai de jeunes scouts qui me renseignent et en qui j’ai totalement confiance.
R.B. : Aujourd’hui, l’émiettement des styles est colossal. Dans le rock comme ailleurs, il règne une pléthore de sous-genres, un nouveau
Terence Fixmer et Douglas Mccarthy © Daniela Vorndran
« La plateforme existe, libre à chacun de s’en servir. On fait simplement partie de ce qui se passe en ville, alors qu’il y a 10 ans, on passait pour des blaireaux… »
Richard Berthou
chaque saison. Il est ardu de définir le son de la ville.
A.M. : On pourrait aussi avancer que l’on vit dans un constant retour de hypes. L’an passé, le shoegaze. Cette année, le trip hop et le psyché à l’image du collectif Flippin’ Freaks, dont l’une des figures les plus en vue est TH Da Freak. Ils sont une quinzaine, chacun a son groupe, tout le monde joue avec tout le monde et ils sont tous bons !
15 ans plus tard, Bordeaux Rock est-elle toujours utile ?
R.B. : Nous ne sommes ni une institution, ni invisibles. Notre légitimité, c’est ce rendez-vous qui offre un coup de projecteur, attire l’attention des médias et du grand public. On n’a peut-être qu’une légitimité technique, mais c’est déjà ça. Quand nous éditions les compilations, cela ouvrait les droits SACEM des groupes, un début de professionnalisation.
A.M. : Les programmateurs viennent toujours faire leur « marché » pendant le festival. C’est un passage obligé, qu’on le veuille ou non, et une belle vitrine. Petit Fantôme ou Mars Red Sky sont passés par Bordeaux Rock. Sans se vanter, nous n’essuyons aucun refus. Un tourneur comme Jimmy Kinast de 3C insiste pour que ses poulains jouent à Bordeaux Rock.
R.B. : La plateforme existe, libre à chacun de s’en servir. On fait simplement partie de ce qui se passe en ville, alors qu’il y a 10 ans, on passait pour des blaireaux…
Le pire et le meilleur en 15 ans ?
R.B. : Évidemment, la toute première édition du festival avec Les Corbeaux du Reichstag ; Les Standards sur la scène de Barbey en 2006 ; Bertrand Burgalat et Laetitia Sadier au 4Sans ; Parris Mitchell ; Rendez-Vous…
A.M. : Petit Fantôme, dont on a publié le premier EP, que j’ai rattrapé par la manche alors qu’il voulait tout arrêter ; le premier Teenage Rock à Barbey, une aventure humaine incroyable, j’en ai pleuré lorsqu’ils m’ont demandé de monter sur scène ; la rencontre avec Hercules & The Love Affair, Hello Sunshine, Tender Forever ; Kap Bambino au capc, l’album Maybe Everything That Dies Someday Comes Back de The Artyfacts, ces gamins avaient 16 ans et ont tous poursuivi dans des groupes comme Cockpit, un grand disque pop…
R.B. : Sinon, le plus dur, c’était la scène garage. Des postures à la con. À leurs yeux, nous n’étions que des vendus même s’ils trépignaient de venir jouer à Bordeaux Rock…
Rétrospectivement, quelle figure aurait dû tout exploser, mais rien au bout du compte ?
A.M. : Tender Forever. C’était Christine & The Queens dix ans avant et tellement mieux. Trop originale, trop en avance. Pas pour rien qu’elle figure au programme des 15 ans après son super retour l’été dernier à la salle des fêtes du Grand Parc.
Justement, que va-t-on déguster pour cette célébration ?
R.B. : Une synthèse entre passé et futur. Et c’est rassurant que le passé soit encore vivace. La venue de Patrick Codenys de Front 242 me fait plus que plaisir, au-delà de ma passion pour l’EBM, il y a une vraie transmission. La soirée du 26 janvier, c’est un peu la grande fête du peuple rock bordelais avec le projet de King Khan, Louder Than Death, qui invite Magnetix et Fredovitch en backing band de luxe. Une sorte de revival de nos kermesses passées.
A.M. : On souhaitait des noms qui claquent pour fêter ces 15 ans et marquer le coup. Peter Hook, ça fait huit ans que je le traque. Thurston Moore, j’ai cassé ma tirelire, mais c’était tellement génial au capc. Terence Fixmer et Douglas McCarthy (ex-Nitzer Ebb), c’est rare et ça va faire sensation. Après, janvier, c’est hyper-compliqué, les groupes ne tournent pas beaucoup, les Américains encore moins.
Cela manque singulièrement de présences féminines ?
R.B. : Il faut venir le 24 janvier, dès 20 h, à L’Avant-Scène, applaudir Pointpointvirgule, Atomic Mecanic et Big Meufs. Il y a aussi Aya, Clara et les Chic Freaks… Après, c’est un fait, la représentation féminine dans l’histoire du rock bordelais est hélas moindre que celle des moustaches.
Bordeaux Rock #15, du mercredi 23 au dimanche 27 janvier. www.bordeauxrock.com
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Ce soir débute Bordeaux Rock 2016 ! Une bonne occasion pour découvrir des groupes de chez nous comme Girafes, Sahara, Clipperton ou Gatha.
Retrouvez la programmation complète sur le site du festival : http://www.bordeauxrock.com/
Bons concerts les Oreilles. :)
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Chers supporters, La saison reprend JEUDI à l'occasion du festival Bordeaux Rock! Nous aurons la joie de partager le terrain avec nos amis, nos amours de toujours Le A et Girafes en mode Les Disques du Fennec POWA. Avalanche de rock'n'roll et de crampons vissés.
#Equipe de Foot#les disques du fennec#foot bordeaux#rock bordeaux#bordeaux rock#Girafes#Girafes le groupe#Le A#Les crampons vissés#les copains#l'amour#la rigolade
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// Gomina - Prints (Bordeaux Rock / WeWant2Wecord / 2015) France (Pop, rock)
Extrait : Stupid Spotify Deezer
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Ma Fiancée - Marc Desse (2014)
Bordeaux Rock/Differ-ant
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Bordeaux Rock 2004-2014 [via The Drone]
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YoYo, batteur du mythique « Art 314 » dédicace la page 155 de mon « Bordeaux Rock (s) »
© a l a i n c o n v a r d
#bordeaux rock#yoyo#lionel hazera#denis fouquet#blues#art 314#l'abreuvoir#rock attitude#rollingvelvet#alain convard
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I Want 2000 Back Now
2000 everything was there : hip hop, post punk, house, indie rock from Bordeaux, France
Please choose 1, 2, 3 or 4 songs you prefer in the form under the vids.
I wanted to include The Busy Signals but nothing much is available. Will make a post later…
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Bordeaux Rock 2019 : Rolling Stone vous invite à la soirée de clôture avec Thurston Moore !
Rendez-vous le 27 janvier prochain pour terminer en beauté un des festivals les plus bruyants du sud de la France
Douze lieux, une trentaine de groupes : pour son édition 2019, le festival Bordeaux Rock a vu les choses en grand. Parmi les noms les plus prestigieux, on retient surtout Peter Hook, éminent bassiste de Joy Division et New Order, mais également Thurston Moore, pionnier de la guitare noise qui électrisait les années 90 au sein de Sonic Youth. Et c’est précisément à cet événement exceptionnel auquel vous invite Rolling Stone, en partenariat avec les organisateurs de Bordeaux Rock : en remplissant le formulaire ci-dessous avant le 14 janvier 2019 à 12h, tentez de gagner deux places* pour la soirée de clôture du festival durant laquelle le Thurston Moore Group donnera un concert unique, le 27 janvier prochain, mais également deux kits festival** composés de tote bags Bordeaux Rock et de badges collector !
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*2×2 places en jeu ** 2 kits en jeu
Note importante : Les informations recueillies sur ce formulaire sont enregistrées dans un fichier informatisé pour la gestion de notre jeu-concours par notre partenaire tiers qui s’est engagé à préserver la sécurité de vos données personnelles. Nous utiliserons les informations que vous nous transmettez via ce formulaire pour vous contacter si vous êtes l’un des gagnants et vous transmettre, si vous avez donné votre consentement, notre newsletter ainsi que des informations concernant nos services. Vos données sont conservées jusqu’à la fin de la durée du jeu-concours ou jusqu’à ce que vous vous désabonniez de notre newsletter. Vous pouvez demander à tout moment de modifier ou supprimer vos données en nous contactant à l’adresse : [email protected] Pour plus d’informations, consultez notre Politique de Confidentialité
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ÉPIQUE
© Pierre Wetzel
Pour célébrer en fanfare et concomitamment les 15 ans de l’association et du festival Bordeaux Rock, du 23 au 27 janvier 2019, avec un programme anniversaire oscillant comme toujours entre jeunes Turcs et gloires madrées, place à cinq soirées roboratives conviant Peter Hook & The Light, Thurston Moore Band (Steve Shelley, Debbie Googe, James Sedwards et Jennifer Chochinov), Fixmer & McCarthy, Patrick Codenys aka Front 242 aux platines, Tender Forever, King Khan LTD, Astaffort Mods… et plus de 20 formations locales !
Bordeaux Rock, du mercredi 23 au dimanche 27 janvier. www.bordeauxrock.com
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BorDeaux ROck
Minuscule Hey /
Petit Fantôme /
Botibol /
Gatha //
Vendredi :
Strong Haiku à 20h /
Mars red sky à 22 /
Thabloid John à 23h /
Flying over à 00h
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Ride à Bordeaux Rock en 2020
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Ben voilà c’était bien. A comparer avec Et au fait… Ride était déjà à Bordeaux dans les 90s.
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Et au fait… Ride était déjà à Bordeaux dans les 90s
Bien sûr j’irais en 2020 surtout pour les magnifiques Cosmopaark, mais c’était quand même vachement bien. Merci Bordeaux Rock pour cette jolie programmation.
A propos de 90s n’oubliez pas le sondage 1990…. (house vs baggy vs indierock)
#1992 #90s #BordeauxRock #Cosmopaark #Ride #Shoegaze
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